Institut des Territoires Coopératifs

Entre les plis – Film documentaire

© Illustration-Graphisme : Sandrine Abayou

Présentation

Dans le cadre de la politique européenne du développement rural, le Réseau Rural Français lance début 2018 un appel à projets en faveur de la ruralité. L’un des projets lauréats s’intitule :

« Le développement rural par la coopération »

Il vise à révéler, à partir dexpériences de terrain, une connaissance nouvelle pour faire de la coopération un levier du développement rural. Anne et Patrick Beauvillard arpentent les territoires lors de longues itinérances à pied, à la rencontre dacteurs engagés dans des actions collectives. Ils sont maires, élus locaux, paysans, salariés, bénévoles, militants du développement local, habitants…

Le film « Entre les plis » fait partie de ce projet.

Bande Annonce

Un mot du réalisateur

« Entre les plis » est un film qui tente de répondre à la question : Comment rendre le spectateur attentif au processus coopératif dans lequel les protagonistes du film acceptent de s’engager. On les découvre attentifs, à l’écoute d’eux-mêmes et des autres, énonciateurs  d’une parole vraie et parfois  inattendue, ouverts à des propositions dont ils ne soupçonnaient pas l’efficience et la fonction transformatrice.

Car vivre ce processus coopératif (et le filmer) n’est pas d’abord l’objet d’une réflexion qu’une information viendrait combler. C’est un chemin  que l’on décide d’emprunter, comme les personnages du film. Il permet de découvrir nombre de bienfaits personnels et collectifs  et n’est pas sans incidence sur le présent et l’avenir des chemins qu’emprunte l’humanité tout entière.

Guy Baudon, mars 2021

Témoignages, Critiques

Entre les plis : une plongée documentaire au coeur du processus coopératif (article du Réseau Rural Français).

« Un documentaire qui déniche et illumine les détails de la richesse humaine dans tout processus coopératif. Sensible et subtil. » (Noémie Hilmoine, le Germoir)

« Un film plein d’espoir sur la coopération inconditionnelle, marqué par la beauté des collectifs humains dans les territoires ruraux. » (Céline Coubard,

Sylvie Alphandéry, Présidente de Autour du 1er mai. Une bien belle expérience de spectateur.

« Entre les plis », une bien belle expérience de spectateur

Lorsqu’on parle de coopération, on en a une idée abstraite, théorique, un peu « bien- pensante ». On ressort de la projection du film de Guy Baudon « Entre les plis » avec l’envie de rester dans la salle de cinéma pour échanger longuement autour de ce qui nous a transformé en cheminant dans ce film.  Tout comme Anne et Patrick Beauvillard le font en parcourant les régions qu’ils traversent à pied, en rencontrant des groupes d’acteurs ruraux qui se réunissent, pour réfléchir et exprimer ce que représente pour eux la dimension de la coopération.

Les films documentaires filment en général des projets qui se réalisent mais pas des processus d’écoutes mutuelles et de mises en relations de personnes.  Merci à toi, Guy, pour avoir réalisé un film qui capte cet entre-deux, ces échanges féconds et ténus qui se tissent entre des gens qui échangent ensemble et dont la présence au monde est à la fois si fragile et si forte.

Notre association Autour du 1er mai recense et fait découvrir les films qui tracent les futurs de transitions possibles.  « Entre les plis » invite à se mettre en mouvement, chacun et ensemble, ce film est un premier pas vers la transition. C’est un film qu’il faut découvrir à plusieurs car il ouvre à la parole et au respect de l’autre.

Estelle Delangle (Pôle Européen du Chanvre) - Un film d'utilité publique !

Ce film est tout simplement d’utilité publique. N’hésitez pas à prendre 90 min de votre temps pour vous poser et partir en itinérance avec Anne et Patrick Beauvillard, à la rencontre de collectifs qui cherchent des clés pour mieux coopérer.
Au Pôle européen du chanvre on a fait le pari de la coopération pour pousser le développement du chanvre en Grand Est, en France, en Europe, toujours plus loin, plus haut, plus fort. C’est un vrai défi et ça n’est pas facile tous les jours. Heureusement, nous sommes accompagnés par l’InsTerCoop, qui nous challenge, nous aide à faire face à nos contradictions et à travailler notre geste coopératif, pour essayer de rester dans la cohérence entre nos comportements et notre ambition.

Anne-Kristen Lucbert (Réseau Rural Français). Un tissage de paroles, qui tisse la qualité de la coopération.

Merci pour ce film, bravo à Guy d’avoir réussi l’exploit de rendre sensible cette expérience verbale, physique, spatiale, territoriale… J’ai beaucoup aimé constater et ressentir la dimension analytique et maïeutique de ce travail, chacun révèle à soi et aux autres ce qui fait sens pour lui dans sa participation à la coopération, mais aussi parfois ce qui crée un noeud, un frein, les dialoguent se maillent, plus que des questions – réponses, j’ai eu la sensation d’un tissage de paroles, et de ce tissu la qualité de la coopération transparait avec ses forces et faiblesses. Avec l’extrême originalité de ces rapports à 3 niveaux : individuels, collectifs, territoriaux.

Yves Buisson. Explorateurs de nos capacités humaines novatrices.

Ce que la rencontre de ce matin m’a de nouveau incité à réfléchir, c’est bien au fait que coopérer implique d’être en mesure d’assumer ses propres conflits, afin de les faire le moins possible porter aux autres, et être alors en mesure d’engager des relations créatives. Cette conviction profonde me suit depuis des années, me poussant systématiquement à retourner voir où je ne m’y adonne pas encore, et le film et le débat de ce matin sont venus me rappeler cette exigence. Dans vos trajets entre deux sites, marchant dans la forêt, j’entendais ce texte de Machado « Caminante, camino se hace al andar », le chemin se fait en marchant. Les personnes qui contribuaient aux réunions présentées étaient vraiment des explorateurs de nos capacités novatrices humaines, à faire émerger le lien là où il n’est pas fondé sur une communauté d’appartenance, mais bien d’affiliation.

Patrice Cieutat (Fondation de France). Entre les plis nous ouvre la voie.

J’ai vraiment apprécié le fait de pouvoir démontrer la manière de réfléchir ensemble sur les processus de coopération qui pourraient conduire à définir, réaliser en collectif et en individuel cette œuvre commune. Tous les participants ont à y gagner, permettant un épanouissement des individus et du collectif. Bref, travailler autrement que par la concurrence (on nous y a largement poussé) et la segmentation des domaines. Il y a bien évidemment encore beaucoup de travail pour y arriver. « Entre les plis » nous ouvre la voie, à nous de s’en saisir : ce qui est très motivant pour l’avenir, dans un contexte assez pesant actuellement.

Christophe Vernier (Fondation Crédit Coopératif). Un voyage suprenant dans l'intime de collectifs, une émotion en soi.

Regarder « Entre les plis » est un voyage surprenant dans l’intime des collectifs rencontrés et des personnes qui les composent. Le voir est une émotion en soi, et de nombreux témoignages ont résonné en moi en allumant des petites lumières. L’intérêt de ce film réside dans les effets qu’il produit au premier niveau – l’émotion intime – et dans la capacité à partager cette émotion à chaud avec les autres spectateurs. Il me semble donc important de privilégier sa diffusion dans des cadres collectifs – préexistants ou en émergence – plutôt qu’un visionnage individuel, et en créant les conditions d’un échange juste après.

Egmont Labadie (Coopaname). Un formidable instrument pour faire connaître la réalité de l’esprit coopératif

Merci pour ce beau film, qui arrive à parfaitement traduire l’expérience coopérative telle que beaucoup de gens essayent de la faire vivre aujourd’hui. On y prend conscience de la dimension démocratique de l’exercice, de la fonction d’agora et d’élaboration d’une pensée collective, qui s’enrichit des perceptions individuelles sans chercher à les évacuer voire à les écraser. Certes ce n’est pas facile, ça ne produit pas toujours le résultat escompté, mais c’est le sort de toutes choses humaines, qu’on en passe par le processus coopératif ou pas. Chez Coopaname, nous avons l’expérience de ces pratiques, et notre expérience nous enseigne qu’elles sont toujours à recommencer : du moment où on arrête de suivre le processus coopératif, l’esprit de coopération s’étiole, se délite, les énergies individuelles se fédèrent moins bien… Sans compter qu’à chaque nouvelle arrivée de membres, la plupart ne connaissent pas ce mode de fonctionnement et c’est à celles et ceux qui étaient là avant, de leur faire comprendre comment ça peut marcher.

En ce sens le film, s’il est un formidable instrument pour faire connaître la réalité de l’esprit coopératif à des personnes qui n’en ont pas l’expérience, est aussi un rappel précieux pour tous les lieux, tous les collectifs où on essaye de fonctionner comme ça, de vivre comme ça, mais où on n’y arrive pas toujours, parfois par lassitude, parfois en raison des difficultés du moment.

Bravo pour le magnifique et patient travail de documentariste de Guy Baudon. Je connais la patience et la minutie qu’il faut pour filmer des dizaines d’heures de discussions, et ensuite les revoir pour aller chercher les pépites, ces moments où se cristallise l’esprit du moment, puis le travail d’orfèvre pour ensuite mettre bout à bout ces moments uniques afin de raconter des histoires, des thématiques, illustrer des préoccupations, des problématiques, sans quasiment d’explication didactique par des voix off omniprésentes ou des cartons explicatifs.

C’est là toute la réussite du film, qui captive pendant ses 90 minutes, bien que les personnages soient quasiment immobiles, grâce à cette tension émotionnelle, cette énergie humaine, l’intelligence du dispositif des deux animateur.e.s itinérant.e.s, la bonne volonté des personnes présentes, et aussi le filmage, au plus près des visages, des regards, des expressions… Merci pour ce très beau travail qui met parfaitement en lumière ce travail de l’ombre qu’est l’élaboration de la pensée et de la pratique coopératives. Parce que delà les organisations, les résultats, les projets, la coopération est avant tout une pratique, une pratique de la démocratie dans le concret.

Christine Coutris (FNCUMA). L'invisible de la relation, je l'ai vu dans ce film.

Ce film est une célébration de l’humain et de ce qui peut se tramer, se tisser, entre les personnes. J’ai fréquemment été bouleversée de cette beauté des êtres que vous nous donnez à voir, notamment dans les silences et dans les plans sur les personnes qui en écoutent une autre parler. Il m’a plus d’une fois semblé voir le travail que faisaient les mots de l’autre dans la personne qui les écoutait, des fois comme un « strike » de bowling, des fois comme une question, des fois comme une caresse.

Oui tout cet invisible de la relation, je l’ai vu dans ce film.

La beauté et la joie de se mettre ensemble pour « fonctionner », faire quelque chose dont on comprend très bien qu’il est presque subsidiaire en regard de l’enrichissement que provoque l’échange, l’invention collective, les difficultés traversées. Tout ça je l’ai vu dans le film.

Et donc la vigueur de ces territoires ruraux dans lesquels, de loin, parfois, un regard de citadin-e peut croire qu’il ne se passe pas grand chose de collectif. Encore merci pour ce travail que vous faites et le portrait qui en a été dressé dans ce film délicat et sensible.

Voir le film maintenant !

Le film est disponible sur le Web, sur la plateforme Viméo ici : https://vimeo.com/527720574. Ce lien est disponible pour vous permettre de vous faire une idée du film, et vous permettre d’envisager l’organisation d’une projection sur votre territoire. Nous souhaitons privilégier les projections en condition « cinéma » : grand écran, siège confortable, immersion dans l’image et le son, expérience collective… « Entre les plis » est un long métrage de 90 minutes.

Dans le texte ci-dessous, Guy Baudon, son réalisateur, nous parle du temps :

Le film est découpé sous forme de séquences mais celles-ci sont intimement liées les unes aux autres : j’ai conçu ce film avec une dramaturgie : les séquences ne sont pas dans n’importe quel ordre, des questions qui se posent dans le premier 1/4 h sont posées différemment 3/4h plus tard, et des liens se créent progressivement entre les séquences…

Il s’agissait pour moi d’embarquer le spectateur pendant 90 mn dans une histoire où il peut être touché, ému, questionné par les personnages du film… Et pour ce faire, il faut du TEMPS.  D’où la durée du film que j’ai pourtant réduite au minimum (le 1er montage durait 2h30!). Et ce temps passé correspond à la démarche même du processus coopératif qui implique de « perdre du temps » pour précisément se rencontrer vraiment.

C’est donc la raison pour laquelle il me paraît nécessaire de voir le film sans l’interrompre. Bien sûr je sais que se déplacer le soir tard pour voir un documentaire de 90mn est une démarche exigeante. Mais si on est pris par le film (ce que j’espère) la durée psychologique n’est pas la même. C’est le déplacement qui coûte, mais une fois qu’on est dans la salle avec des spectateurs participants qui échangent, le temps passe très vite. J’ai animé plusieurs projections de ce film et c’est souvent le responsable de la salle qui nous invite à clore le débat… lequel se poursuit parfois dans la rue quand il ne fait pas trop froid!

Vous l’aurez compris, je souhaite vivement que le film soit présenté sans interruption, comme n’importe quel film documentaire ou de fiction. Les échanges seront alors fort intéressants (et parfois émouvants).

Organiser une projection

Vous souhaitez présenter le film et susciter les échanges à l’issue de la projection : voici quelques recommandations que Guy nous donne :

Pour présenter le film, vous pouvez simplement dire pourquoi vous, vous avez décidé de le projeter… Si j’en juge par ce qui a été dit lors de la projection en salle, l’expression la plus courante fut « Ce film m’a touché ». En quoi vous a-t-il touché, vous ? Par exemple, la manière dont les personnes sont filmées permet de voir ce qui se passe en eux et leur cheminement. C’est un film à l’écoute…

Ne pas dévoiler le film, mais proposer une entrée possible qui ouvre au plaisir de le voir… 

Après la projection, n’ayez pas peur du silence qui suit la projection… Laissez vivre ce silence, cet atterissage tellement fécond. Ne l’interrompez pas, genre : « Alors, qu’est-ce que vous pensez de ce film ? » ! Ne parlez pas à la tête, partez plutôt des impressions personnelles laissées par le film… Un mot, une phrase… sans trop réfléchir… Un peu comme dans le film lorsque Anne ou Patrick disent à propos d’une question déroutante (La Gare) : dites ce qui vous vient à l’esprit, sans trop réfléchir…

Si on a été touché… Pourquoi ? D’où ça vient ? De l’implicite dévoilé ? Le temps pris pour l’écoute de l’autre ? « On a parlé vrai, les uns et les autres », dit une agricultrice… « Vous tous, vous avez allumé des feux » dit un maire… « On s’interrogeait au départ collectivement sur la coopération et ça nous interrogeait nous à titre individuel » dit une enseignante… Demandez au spectateur quel personnage les a marqué, quelles paroles, quelles attitudes…  L’échange est « réussi » lorsque les prises de paroles se complètent, et enrichissent les uns et les autres…

Autrement dit, les échanges eux-mêmes s’inscriront dans le processus coopératif…  Non pas des discours sur la coopération, mais dialoguer, coopérer avec les spectateurs, faire en sorte qu’ils coopèrent entre eux. Comme le dit Anne à la fin du film : « Ce qu’on a fait aujourd’hui avec vous, c’est coopérer. On a coopéré ensemble ».

Dans tous les cas, nous sommes preneurs de savoir quand et dans quel cadre vous allez projeter le film, et bien sûr, d’avoir un retour à l’issue de la projection.

Si vous disposez d’un équipement type vidéoprojecteur de qualité et si vous avez accès à Internet, l’accès par Viméo est parfaitement adapté. Si vous n’avez pas accès à Internet, nous pouvons vous donner accès à un lien pour télécharger le film.

De la même manière, si vous disposez d’un équipement numérique professionnel (cinéma), nous pouvons vous donner un accès pour télécharger et ingester le DCP sur votre machine. Pour cela, contacter contact@instercoop.fr.

Si vous avez besoin d’un support physique :  nous pouvons vous prêter un disque BluRay. Dans ce cas pour vous pouvez également contacter les partenaires du projet :

Les projections déjà prévues

2021

  • 25 juin à 10h, à Paris en avant-première, au Reflet Médicis à 10h (sur réservation uniquement : cliquer ici)
  • 3 juillet à 15h30, à Plessé (Loire-Atlantique), dans le cadre de la 1ère journée inspirante « Et si on coopérait ? »
  • 7 septembre à 20h30, à Besançon (Doubs), à l’initiative du Club Climat de Grand Besançon Métropole « Comprendre la coopération, c’est accélérer les transitions »dans le cadre de la 7ᵉ itinérance de l’Observatoire de l’Implicite (Petit Kursaal)
  • Du 10 au 26 septembre dans le cadre de la Fête des Possibles. Entre les plis fait partie de la Filmographie des possibles de l’association Autour du 1er mai.
  • 19 septembre à 18h, à Lons le Saunier, dans le cadre de la 7ᵉ itinérance de l’Observatoire de l’Implicite (Mégarama)
  • 27 septembre à 20h30, à Tournus dans le cadre de la 7ᵉ itinérance de l’Observatoire de l’Implicite (Cinéma La Palette)
  • 20 octobre, à 16h00, à la Médiathèque de Niort, dans le cadre du 6ᵉ Forum National ESS & IS, en présence de Guy Baudon
  • 21 octobre, à 10h00, à Joinville (Haute-Marne), à l’Auditoire, en présence de Anne & Patrick Beauvillard
  • 26 octobre à 10h00, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme), au Ciné Capitole, , en présence de Anne & Patrick Beauvillard
  • 29 octobre à 10h00, à Mayenne (Mayenne), au Fox, en présence de Anne & Patrick Beauvillard
  • 10 novembre, à Périgueux (Dordogne), en présence de Guy Baudon (info)
  • 30 novembre, à Sainte Savine (Aube), en présence de Guy Baudon (info)
  • 1, 2 ou 3 décembre, à la Martinique (à confirmer)
  • 9 décembre, à Martigues, dans le cadre des 54èmes rencontres nationales du RNMA (info)
  • 11 décembre, à Baugé-en-Anjou, en présence de Anne & Patrick Beauvillard (info)
  • 15 décembre, à Langres (Haute-Marne), en présence de Anne & Patrick Beauvillard (info)
  • 16 décembre, à Munster, en présence de Anne & Patrick Beauvillard (info)

2022

  • 15 février à 20h, à Strasbourg, au cinéma l’Odysée, en présence de Guy Baudon (info)

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L'InsTerCoop est un laboratoire d’action-recherche-trans-formation sur les processus coopératifs, et un centre de ressources et de ressourcement au service des personnes, des organisations et des territoires pour croître en maturité coopérative et faire de la coopération un levier de développement, de résilience et d'innovation.